Jusqu’en 2015-2016 à l’Unistra, les licences du domaine droit, économie, gestion et sciences politiques et sociales (DEG) intéressaient un plus grand nombre de néo-bacheliers. Depuis 2016, le domaine sciences humaines et sociales (SHS) est devenu un peu plus attractif : 30 % des néo-bacheliers se sont inscrits en SHS en 2018-2019, contre 28% en DEG. Le domaine arts, lettres et langues (ALL) représente 23 % des inscrits en licence. Enfin, après avoir régulièrement augmenté depuis 2011, la part des étudiants inscrits en cursus licence du domaine sciences et technologies (S&T) s’est stabilisée à 19 % depuis 2016.
Est considéré comme « présent aux examens », l’étudiant qui a passé toutes les épreuves obligatoires pour valider chaque semestre de formation. Le phénomène « d’absence » aux examens est important en première année de licence : seuls 68 % des néo-bacheliers se sont présentés à l’ensemble des épreuves obligatoires (66 % à l’Unistra et 74 % à l’UHA), ce qui représente une hausse de 5 points par rapport à 2017.
Dès le 1er semestre, ils sont en moyenne 22 % des inscrits à ne pas se présenter à toutes les épreuves obligatoires pour valider leur semestre de formation (31 % au second semestre). Le taux de présence aux examens sur l’année varie fortement selon le domaine de formation. Il atteint 73 % et 72 % pour les domaines DEG et SHS, 64 % et 57 % pour les domaines S&T et ALL, toutes universités confondues. La participation des néo-bacheliers aux examens est donc en hausse pour chaque semestre et pour chaque domaine (à l’exception de S&T qui reste stable) par rapport à l’année précédente.
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